Cette propriété apparaît très utile si l’on souhaite une mesure globale des nombres des bactéries en fonction de temps. Au contraire, pour des expériences in vivo de suivi des protéines fluorescentes (comme la GFP), la fluorescence de flavines sécrétées dans le milieu de culture limite fortement la gamme dynamique de détection de la GFP. Ces flavines qui émettent dans la même gamme spectrale que la GFP s’accumulent dans le milieu de culture et rendent les expériences dépendantes de « l’historique » de la culture.
In fine, une nouvelle méthode « spectrale » de séparation de cette fluorescence des flavines de celle de la GFP est proposée. Cette méthode permet d’utiliser le GFP de façon quantitative dans les expérience de suivi dynamique d’expression de gènes.
L’article vient de paraître dans la revue Physical Biology.