Cependant, nous montrons que les propriétés motrices–clé comme la vitesse maximale ou la force maximale que peuvent atteindre cellules et muscles sont déterminées par une mécanique similaire. En comparant des expériences et les prédictions d’un modèle mécanique, nous pouvons décrire et quantifier les dépense énergétiques d’une cellule qui agit sur son environnement, et expliquer ses surprenantes capacité d’adaptation et de résistance mécanique.
Ces résultat viennent d’apparaître dans la revue PNAS et ont également fait l’objet d’une communication du CNRS. Pour plus de détail, voir ici.